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Yoga des sons

voir aussi : les Témoignages

YOGA DES SONS & CELLULE:

 Cours collectif de yoga des sons, un jeudi par mois de 19 h à 20 h 15. 
  Cellule, un jeudi par mois de 20 h 30 à 21 h 30.

rentrée 2016 : 15 septembre, 13 octobre, 17 novembre, 15 décembre

➝ sur inscription seulement.

39, rue des Montiboeufs, 20e arr. porte de Bagnolet

L’eau et les vibrations

Depuis des années Masaru Emoto parcourt le monde et prelève de l’eau dans les fleuves, la congèle puis prend des photos des cristaux d’eau. Selon les lieux, les cristaux sont tous differents parfois très beaux et très purs parfois moins. Il a aussi mis de l’eau en contact avec de la musique et a constaté que les cristaux selon les sons qu’ils avaient reçus étaient très différents. Beaucoup d’exemples sur Masaru Emoto.

Le yoga des sons

Cet exemple illustre bien à quel point l’eau est sensible aux vibrations. Etant composé à 80% d’eau le corps humain peut être sujet aux mêmes transformations.

Un cours de yoga des sons c’est un travail complet de transformation. Nous chantons des sons (voyelles) avec une intention précise. Les intentions que nous émettons sont en lien avec une conscience accrue de notre corps. Après chaque groupe de sons nous réalisons des postures de yoga qui permettent au corps de se détendre, s’étirer, s’assouplir et aussi d’intégrer les vibrations produites par les sons. Les premiers effets que j’ai constaté lorsque j’ai commencé ce travail, sont : plus de joie dans ma vie de tous les jours, un assouplissement de mon corps et une capacité pulmonaire beaucoup plus grande.

Les effets ne sont pas obligatoirement les mêmes selon les personnes.

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Témoignages

Aude, juillet 2007

Je suis les cours de yoga des sons depuis septembre et je dois dire que cela a grandement changé mon quotidien.
Au départ j’avais choisi cette discipline parce que je fais du chant et du théâtre et que j’aimais l’idée d’associer le son aux postures de yoga.
Aujourd’hui ma satisfaction va au delà de ça. Grâce à cette discipline que je pratique deux fois par semaine, j’ai développé ma capacité respiratoire, l’étendue de ma voix mais surtout j’ai appris à respirer, gérer des situations délicates grâce à la prise de conscience de ma respiration.
C’est comme s’il existait une vraie connexion entre ma respiration et le fonctionnement de mon corps tout entier, ce qui ne m’était jamais arrivé.
Les postures m’ont aussi permis de m’assouplir, me détendre, je vis beaucoup plus en harmonie avec mon corps et avec la vie quotidienne parfois très stressante. J’ai aussi été très sensible à la pédagogie d’Isabelle qui propose une atmosphère de travail très calme et sereine et reste attentive à l’évolution de mon parcours dont elle respecte le rythme tout en restant très à l’écoute quand parfois le doute s’installe.
Tout cela pour dire que c’est une vraie prise de conscience pour moi et que je ne pourrais plus m’en passer.
Plus qu’une pratique, c’est une ouverture sur le monde.

Joelle, juin 2009

Je ne suis venue au yoga que cette année, en septembre. Auparavant je pensais que ce serait une discipline trop fastidieuse pour moi, parce que j’ai été très nerveuse toute ma vie et j’avais plutôt envie de danse ou d’activités artistiques pour me ressourcer.

Finalement l’été dernier j’ai fait des rêves et j’ai eu des flashes avec des images précises, qui m’ont donné à penser que c’était le moment d’entamer un nouveau travail sur moi, en profondeur.

J’avais déjà pratiqué une technique appelée Energo-chromo-kinèse, il y a une quinzaine d’années, qui avait changé toute ma façon de concevoir la vie, mais entre-temps le quotidien, des relations affectives lourdes, des problèmes de santé et le rythme de travail que je m’impose m’en ont un peu éloignée dans la pratique.

J’ai eu envie de tester un CD de musicothérapie qui utilisait des voyelles et la respiration et cela m’a soulagée, donc j’ai fait des recherches pour trouver un cours ou des stages, et je suis tombée par hasard sur le Yoga des Sons. J’ai eu envie d’essayer et j’ai tout de suite aimé ça, la discipline elle-même et l’ambiance du cours.

D’abord quand je pratique cette discipline, je me pose, je m’occupe enfin de moi. Et pourtant j’ai l’impression qu’en m’occupant de moi, je travaille à un autre niveau, plus universel. Je fais partie de..
Je fais attention à ma respiration quasiment partout et tout le temps maintenant, ce qui m’a permis de gérer les malaises (vertiges) que j’avais depuis l’an dernier, en tout cas de gérer le stress que ça occasionne quand ça m’arrive.

Je m’efforce de faire les choses consciemment sinon plus lentement. J’ai l’impression de mieux résister aux pressions, à l’anxiété.
Il me semble aussi que je suis plus attentive, à mes sensations ou mes émotions, mais aussi à celles des autres, que j’écoute mieux, bien que plusieurs fois cette année cela a occasionné de la tristesse, parce que je me suis rendu compte que je voyais très différemment les autres, et quelquefois j’ai été déçue ou plutôt désillusionnée au sujet de gens que j’aimais bien et que j’ai soudain vus tels qu’ils étaient.
Et je me suis efforcée d’accepter ce que je voyais et de les aimer quand même, peut-être même de façon plus authentique, moins idéalisée.
En même temps je m’exprime plus volontiers, plus facilement même dans mon imperfection.

Je me trouve parfois dans des états de calme intérieur très agréables, et je m’aperçois que cela a un impact sur mon entourage, alors que je ne fais rien de spécial. C’est comme si ça parlait tout seul.
Je me vois vivre de l’intérieur (ou de l’extérieur ?) des fois, je me vois agir sans avoir voulu m’observer, par hasard, et je me réconforte et m’encourage comme si je me dédoublais. C’est étrange.

Au début mon esprit gambadait pendant les cours, je gigotais beaucoup et je devais faire un effort pour me reconcentrer, maintenant j’arrive mieux à maintenir mon attention, et du coup mon rapport au temps, qui est depuis toujours une souffrance, est un peu différent. J’ai eu des moments où les corvées pleuvaient et j’ai juste essayé de faire les choses une par une, à fond, au lieu de vouloir tout faire en étant insatisfaite. Parce que le temps n’existe pas quand on chante les voyelles et les mantras, on s’arrête quand on le sent, et ça, c’est nouveau pour moi.

Je m’exprime toujours par images plutôt que par les mots, au début des cellules de Gaia Yoga, je me sentais pudique et je n’osais pas dire ce que je voyais, ça défilait sans cesse, et puis petit à petit j’ai pris confiance, parce que j’avais envie de partager avec les autres, et maintenant je dis plus volontiers ce que je vois, et me soucie moins de la façon dont les autres le reçoivent.
Ce partage chaque semaine, c’est devenu un besoin parce que c’est le seul moment où le temps est suspendu.

Il y a quinze ans, quand j’ai travaillé avec mon groupe d’enseignement spirituel, j’idéalisais trop mes maîtres, ils étaient un peu irréels et inaccessibles. J’étais fascinée par les sensations que j’éprouvais, mais il y avait un côté mystérieux, voire magique, dans tout ça, ainsi qu’un certain sectarisme par rapport aux non pratiquants.
Dans le Yoga j’ai plus l’impression de partager avec le professeur, d’être à égalité avec les autres et ça me libère. Ce qui fait que je me suis trouvée souvent bavarde dans mon désir d’échanger et ça m’a amusée, parce que d’ordinaire je reste plutôt silencieuse, enfin c’est le feedback que j’en ai.

Les anciennes sensations se mélangent avec les nouvelles maintenant. Je cherche à remettre chaque chose à sa place, mais à expérimenter tout çà sans a priori, sans trop chercher de repères. Et cela me fait beaucoup de bien à tous les niveaux.

J’espère que ce travail m’aidera à arrêter de fumer, parce que j’ai quasiment supprimé toutes mes dépendances, mais çà c’est la dernière étape, et peut-être la plus importante pour moi. Comme si je devais oser respirer ou quelque chose comme çà.  La cigarette, c’est le seul moment jusqu’à maintenant qui me permet de « souffler ».

J’ai envie d’approfondir en commençant le Kundalini Yoga l’an prochain, parce que les deux journées où j’ai un peu pratiqué, j’ai adoré çà et j’en ai ressenti les bienfaits tout de suite.

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